Bon et bien après un pilot que j'ai beaucoup aimé, je trouve que ça perd en qualité pour devenir aussi nanardesque que Persons Unknown. Ça accumule les clichés et le nawak total avec des persos qui sont tous des caricatures. Les survivants disent plusieurs fois que c'est mieux d'avoir un campement à l'extérieur de la ville sauf que leurs campement n'est même pas à peine 2 km de la ville. Dans le 3e ou 4e épisode nos héros font la rencontre d'un groupe de latinos qui fond du bénévolats en protègent de vielles personnes dans un immeuble en plins Atlanta alors que c'est dit 1000 fois que ça grouille de zombies.

Sinon, on échappe pas au triangle amoureux avec la femme du héro principal qui a couché avec son meilleur ami et l'épisode 5 était un nawak total.
40 minutes pour dire au revoir a 2 personnes zombifié ou il ne se passe rien. Un épisode rempli d'invraisemblables avec Laurie Holden plutôt que de tuer définitivement sa soeur qui a été mordu passe tout l'épisode à chialer sur son cadavre alors qu'il serait bc plus sécuritaire d'en finir avec elle avant qu'elle devienne un zombie et un danger pour les autres.
Et ne parlons pas de l'autre mec mordu que les survivants laisse trainer comme un agneau avec eux et que pendant leurs voyage au CDC, le laisse dans la nature selon la velonté du mec alors qu'ils sarvent pertinament que le mec une fois devenu zombie va s'en prendre à des innocents.
Et le voyage au CDC, ahhhhhh le CDC, le nawak total.
Plûtot que de prendre la décision logique et intelligente de mettre le groupe de survivants en sécurité et d'envoyer un éclaireur au CDC pour savoir si il reste du monde en vie, ils y vont tous ensemble avec femme et enfants et quand les zombies arrivent, les survivants se plaignent avec la femme du héro qui crie comme une hystérique.
Bref, je me fou de la popularité de la bd que j'ai même pas lu mais là, c'est le nouveau nanar/navet d'AMC avec le remake sur l'acide et prétentieux du Prisonnier.
Et qu'elle idée d'utilisé la musique de 28 Days/Weeks et de Sunshine dans certains épisodes.
