Son style d'écriture c'est un peu affiné mais donne toujours l'impression de lire un essai plutôt qu'un roman, en tout cas pas de la grande littérature.
La reprise, après deux ans d'attente, s'opère rapidement et facilement avec un résumé assez efficace inséré dans les évènements, comme Werber a prit l'habitude de le faire.
Attention ce qui va suivre est SPOILER mais pas trop sur les 100 premières pages :
Werber nous apporte rapidement des réponses restées en suspens depuis Nous, les Dieux.
Ainsi, l'identité du déicide est révélée dés la première partie du récit. Accompagnée d'ailleurs par la vérité sur l'homme masqué qui lui faisait face dans Le souffle des Dieux. Personnage qui ravira ses fans
Du coup, outre le mystère des Dieux subsiste toujours le mystère de l'identité de la moucheronne, présente mais encore gardée secrète.
Subiste également (mais la je doute qu'on ai une explication) cette espèce d'incohérence concernant les âmes et les réincarnations. Ou vont et que deviennent les âmes avant l'instauration du monde des morts et de l'empire des anges ? Se réincarnent-elles d'elles mêmes ? Disparaissent-elles comme par magie ? Erent-elles sur terre 18 ?
Qui a créé les premiers hommes dont les Dieux guident les pas ? Les âmes ont-elles été créées à ce moment et gisent quelque part dans une espèce de reserve d'âmes en attendant de trouver un nouveau né à habiter ?
Sont-elles créées au moment de la naissance des hommes ? Cela signifierait que lorsqu'on se réincarne on prend la place d'une nouvelle âme ? Pluôt étrange et complètement exanté d'explications.
En tout cas s'est parti pour la dernière ligne droite du jeu des Dieux.
edit : voila fini. Assez spécial la fin quand meme non ?
Je regrette surtout le peu de rôle accordé à Raoul, personnage principal depuis l'enfance de Michael.
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