Un nouveau post, pour savoir quels sont les recueils de poésies qui vous ont le plus touché, laissé le plus perplexe, enthousiasmé et pourquoi; si c’est possible d’exprimer les sentiments qu’on peut ressentir à la lecture poétique …
Personnellement, j’ai craqué pour [i]"Du Monde Entier"[/i] de Blaise Cendrars
[img]http://perso.orange.fr/calounet/couvertures/cendrars/mondeentier.jpg[/img]
Poèsie complète de l’auteur :
[i][b]"Du Monde entier"[/b][/i] comprenant [i]"Les Pâques à New York"[/i], [i]"Prose du Transsibérien et de la petite Jeanne de France"[/i], [i]"Le panama ou les aventures de mes sept oncles"[/i], suivi de [i]"Dix neuf poèmes élastiques"[/i], [i]"la guerre au Luxembourg"[/i], [i]"Sonnets dénaturés"[/i], [i]"Poèmes nègres"[/i], [i]"Documentaires"[/i].
Écrivain d’exception et voyageur inconditionnel, ces poèmes seront largement marqués par ses penchants mon notre monde, ainsi que de nombreuses allusions à l’art: musique, peinture et cinéma.
[i]"La prose du transsibérien et de la petite Jeanne de France"[/i], comme le nom l’indique un voyage en train, (imaginaire ?), les paysages aperçus font ressortir une foule de sentiments, de sensations à l’auteur qu’il nous expose au fil des lignes, rien n’est cohérent, il y des problèmes de chronologies; un voyage dans un transsibérien avec une phrase répétitive « Blaise, dis, sommes nous bien loin de Montmartre? » Mélange entre réalité et rêve, passé et présent, je ne me souviens pas avoir autant apprécié un texte poétique!
[i]"Les pâques à New York"[/i]
L’hétérogénéité de cette ville, ses malheurs, ses pauvres, un pot-pourri de New-York à travers une ballade dans ses « bas fonds »; et bien sûr, une reflexion sur dieu, sur le bien fondé de la religion ...